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[Cycle Strobist] Mes premiers shootings!

Mes premiers shootings… ou ce que j’ai appris en me lançant dans le Strobist!

Après mon dernier article sur les flashs, j’avais envie de m’arrêter quelques instant sur mes premiers essais de photo au flash déportés.

Première chose: j’adore cette technique! En fait, je crois surtout que c’est l’idée de composer une photo, de mettre en scène qui me plait le plus avec cette nouvelle discipline. Au départ, je suis plutôt un photographe « contemplatif »: je photographie ce que je vois, un peu au hasard de mes déplacements, voyages, rencontres. Avec le portrait au flash, je suis obligé de me questionner, de créer et de construire une image de A à Z. J’ai « recruté » plusieurs modèles parmi mes amis/collègues et j’ai essayé d’imaginer l’univers dans lequel je les imaginais le plus. Pour certains, c’était assez évidents, mais pour d’autres c’est en discutant avec que les idées sont venues.

Pour l’instant, mes mises en scènes sont assez classiques voire basiques. Je souhaite d’abord maitriser le plus possible la technique du flash avant de complexifier les choses. J’ai beaucoup appris dans les livres mais aussi en furetant sur le web ou en demandant l’avis à des amis photographes. Rien ne remplace, plus encore que dans d’autres domaines de la photo, la pratique régulière.

Voici, en quelques mots l’état de mes expériences!

Préparation de la séance

– il faut un maximum de matos d’éclairage à disposition… mais ne pas chercher à tout utiliser en même temps. La plupart du temps, une ou deux sources suffisent et c’est leur orientation, leur puissance et leur diffusion qui font tout. Pour ma part, le matos dont je dispose me convient parfaitement. Le manque de matériel ne peut donc pas être une excuse pour rater les photo!

Jennifer et Alexis-8
Modèle: Alexis

– la phase préparatoire est importante. Imaginer la séance bien sûr (mais une fois sur place la donne change souvent) mais surtout prépare le matériel avant l’arrivée du modèle. A ce sujet, un assistant est souvent très utile. Pour ma séance avec Stéphanie, j’étais seul, et sans système de pince+trépied pour tenir un réflecteur, j’ai été contrait d’utiliser une source de lumière supplémentaire. Alors que lors de mon shooting avec Jennifer et Alexis, l’un des deux était disponible pour positionner un réflecteur afin de déboucher les ombres.

Jennifer et Alexis-37
Modèle: Jennifer ¦ Assistant: Alexis

– le choix du modèle est un élément central du shooting. Lorsque j’ai participé au stage photo de Franky, je trouvais qu’avoir un modèle pro était un avantage… au final, je ne suis plus convaincu, en tout cas pour ce que je cherche à faire comme photo. Les poses des modèles sont souvent très classiques, sauf si le photographe dirige avec une approche très innovante. Résultat: la plupart des photos « studio » de modèles que je découvre sur le web, y compris celles prises par des « pro » ne me plaisent pas vraiment. Je me demande même si le fait de travailler avec des modèles expérimentés ne poussent pas les photographes à formater leurs images, de la prise de vue au post-traitement… Je n’ai pas de certitude mais je sais que ce type de portraits ne m’attire pas. Je trouve plus beau et touchant des photos d’anonyme comme ceux des projets Faces of Geneva ou No Music No Life de Josh Fassbind par exemple, ou encore de jeunes mariés…

Je pense que je vais donc continuer à recruter des gens normaux, inconnus ou amis! En outre, les retours positifs que j’ai eu de la part de mes modèles me confortent dans mon choix. La plupart des gens n’ont pas de « belles photos » d’eux. Ils ont les photos de classes, les photos d’identités, les photos souvenirs, les photos « délires » prises avec l’iPhone mais très rarement des vrais portraits dont ils sont fiers… et sur lesquels ils se trouvent beaux. Connaissez-vous beaucoup de personnes dans votre entourage qui se trouvent bien sur les photos? Alors, si je peux réussir, ne serait-ce qu’une seule fois, à satisfaire mes modèles, alors le contrat sera rempli!

Mise en place du shooting:

Une fois la scène imaginée et le modèle présent, la séance peut commencer. Vient alors la phase des réglages. A ce jour, je n’ai fait que des photos sur lesquelles les flashs sont quasiment les seules sources de lumière.

Mes réglages boitiers sont quasi toujours F/8, 1/250ème, iso 100. Pourquoi ces réglages? Ce sont les meilleurs possibles pour mon Canon 7D + 17-50 2.8: f/8 donne un bon piqué et une profondeur de champ raisonnable, incluant le modèle et le décor proche, 1/250ème est la vitesse de synchro flash maximale (risque de flou de bouger ou de mouvement limité) et 100 iso donne évidemment la meilleure qualité d’image.

Lorsque j’utilise mon 35mm 1.4, j’ouvre à 1.8 ou 2 pour profiter d’une profondeur de champs réduite, je diminue nettement la puissance de mes flashs.

Pour le placement des sources, je reste pour l’instant dans des schémas classiques: source principale diffusée par un parapluie translucide ou une softbox, à gauche ou à droite à 45°, placée assez haut et orientée vers le sujet. Quand à la distance, je préfère des ombres assez douces donc j’ai tendance à rapprocher la source le plus possible de mon sujet (comme le suggère David Hobby dans Lightning 101 page 20). Cette disposition est mon « set de base ».

Jennifer et Alexis-17
Modèle: Jennifer

Après suivant l’effet recherché j’utilise un réflecteur, ou une source de lumière supplémentaire pour « déboucher » un peu les ombres. Petite astuce de mon ami Franky: testez vos sources de lumière une par une sur votre sujet pour un réglage plus fin et plus simple, chaque source n’étant pas « influencée » par les autres.

En pratiquant, je me rends compte que le dosage entre les 2 sources principales (2 flashs ou 1 flash + reflecteur) est complexe. Selon les réglages adoptés, l’équilibre entre les 2 donnera un caractère très différent à l’image finale. Il vaut mieux doser moins fort la source secondaire sinon, l’éclairage parait « plat ».

J’utilise parfois le snoot (cône) qui permet de concentrer le faisceau lumineux pour un effet « cinéma ». Parfois aussi une rim light, une source lumineuse placée derrière le sujet, à l’opposé de l’appareil photo ou décalée sur le coté, hors champ et qui permet de découper la silhouette de votre sujet sur un fond sombre.

Autre possibilité, utiliser un ou deux flashs pour éclairer le fond, en lumière naturelle ou avec une gélatine colorée.

Enfin, avec un système radio comme le mien, rien n’interdit de placer un flash, caché dans le décor pour éclairer une zone particulière de la scène, comme c’est le cas sur cette photo: j’ai posé un flash sur le siège conducteur pour illuminer un peu le tableau de bord de la voiture.

Stéphanie-6
Modèle: Stéphanie

Le shooting

On entre dans le vif du sujet! Durant ces 2 shootings, j’ai souvent commencé par être un peu hésitant, n’osant pas vraiment diriger mes modèles. J’ai eu un peu tendance à les laisser faire. Et comme ce ne sont pas des modèles professionnels, ils ne savent en général pas vraiment quelle attitude adopter. Heureusement, mes modèles n’étaient pas timides ou mal à l’aise devant l’objectif. Ils posaient donc de manière assez naturelle. Mais ce n’est pas le cas de tout le monde… il faut donc prendre les devant et proposer quelque chose, en particulier à des modèles amateurs.

Et là, il n’y a pas de secret pour bien faire poser. Je pense qu’il faut se « lâcher » un peu, partir de ce qu’on a vu dans des magazines ou chez d’autres photographes, essayer plusieurs variantes sans donner l’impression au modèle qu’on ne sait pas ce que l’on veut.

Pour la photo de la Panthère Rose, j’ai tout de suite eu l’idée de faire poser Alexis dans la même position que celle adoptée par le célèbre personnage de dessins animés. Si on a une idée précise, tout roule. En quelques secondes, la pose était bonne et même mon éclairage s’est imposé de lui-même. Pour d’autres photos, j’ai eu plus de peine à proposer une mise en scène et une attitude intéressante… d’ailleurs lors de ma sélection, les images qui étaient le moins « claires » dans ma tête n’ont pas été retenues.

Jennifer et Alexis-26
Modèle: Alexis

Après, on n’est pas non plus obligé de chercher midi à 14h. Un simple portrait (plan poitrine ou plan taille) se suffit à lui-même. Dans ce cas seul l’éclairage peut faire varier l’intérêt de la photo. C’est peut-être l’occasion d’utiliser des gélatines de couleur pour proposer une image originale.

Pour ceux qui manque d’idée pour faire poser, vous pouvez trouver des ressources ici, et encore . Rien d’extraordinaire mais c’est un bon point de départ pour diriger vos modèles. Sinon, je ne sais plus où j’ai lu, en substance, l’idée qu »un membre est fait pour être plié » (si l’auteur passe par ici…). D’après ma petite expérience, cet axiome se vérifie quasi à tous les coups! Ne devenez pas des adeptes du yoga pour autant mais garder cette petite phrase en tête vous donnera là encore un bon point de départ et une attitude naturelle à votre modèle.

Stéphanie-2
Modèle: Stéphanie

Ensuite, il faut appuyer sur le déclencheur, encore et encore, demander à son modèle d’affiner encore un peu l’attitude, corriger la lumière si besoin (puissance et position) jusqu’à obtenir LA photo. Et peut-être que LA photo n’arrivera pas! Parfois, on a une idée et lorsqu’il faut la traduire en image, ça ne marche pas. Mieux vaut ne pas s’entêter. Dans bien des cas, on fera mieux la prochaine fois. Pour ma photo de Stéphanie avec la Mercedes, j’étais parti sur tout autre chose mais sans succès. Puis j’ai vu cette voiture et là est née ma photo préférée de cette série 😉

Pour finir, une erreur à ne pas commettre: Sur un fond « rayé » (comme c’était le cas avec les moellons derrière Stéphanie), attention â être bien de niveau, sinon, c’est moche, très moche. On peut recadrer la plupart du temps, mais si le portrait est très serré, la photo n’est pas modifiable sans perdre une partie importante du sujet… Essayez aussi d’être parallèle au fond s’il n’est pas uni… ou de ne pas l’être du tout pour que ce soit vu comme un vrai choix et non un oubli. Personnellement, je shoote à main levée mais avec un fond « complexe » mieux vaut peut-être privilégier le trépied.

Le post-traitement.

C’est la dernière phase et de loin pas la moins importante. Voici comment je procède:

Un premier tri grossier: effacer toutes les photos ratées (floues et/ou mal cadrées, mal exposées…)
Un second tri pour sélectionner les images qui ont un « potentiel »… et effacer celles qui n’en ont pas.
Un 3ème tri durant lequel je note (dans Lightroom mais de nombreux logiciels ont cette fonction) mes photos de 1 étoiles à 5 étoiles
Un 4ème tri pour ne garder que les 4 et 5 étoiles.

Ensuite je laisse reposer un peu (quelques heures à quelques jours) et je me repenche sur ma sélection. A ce moment là, je supprime encore quelques images et au final il n’en reste que 2,3 qui me plaisent vraiment. Comme je sais si elles me semblent réussies? Je n’ai aucune hésitation à les partager dans mon portfolio!

Concernant le traitement à proprement parlé des photos, je n’ai pas de recette fixe. Je sais juste que je ne me mets pas de limites: pour les portraits de Stéphanie, j’ai pas mal modifié les couleurs: je cherchai à avoir un rendu un peu 70′ et le résultat brut était trop flashy à mon goût. A l’inverse avec Alexis et Jennifer je voulais donner du pep’s à leurs portraits en saturant un peu plus les couleurs… ou au contraire à les passer en noir et blanc pour certaines.

Jennifer et Alexis-40Modèle: Jennifer

Au final, je sais maintenant qu’il faut partir de la photo de départ et ne pas hésiter à le retravailler jusqu’à obtenir un résultat conforme à ce que l’on imagine dans sa tête. Bien sûr, une erreur d’éclairage se rattrape mal en post-traitement. Mais travailler sur la colorimétrie, le contraste, lisser un peu la peau est tout à fait pertinent!

Conclusion

Mes premières vraies photos « strobist » me plaisent! Elles sont évidemment perfectibles, mais j’ai compris l’essentiel de la technique et il ne me reste maintenant qu’à pratiquer le plus possible. Mes modèles sont très contents de leurs photos et se trouvent « bien » dessus, mon objectif est donc atteint. Ils sont partant pour renouveler l’expérience et j’ai des idées plein la tête! Il ne reste qu’à trouver le temps et d’attendre que les beaux jours arrivent enfin, mes projets étant prévus pour se réaliser en extérieur. Même si ça peut rendre bien de shooter au flash sous la pluie, je me vois mal demander à mes modèles de poser sous la pluie pendant une heure!

Question matos, comme je le disais, je suis suffisamment bien équipé pour faire à peu près tout ce que je veux. Il me manque peut-être juste un bol beauté pour être vraiment parfaitement au point! Je ne vous ai encore pas présenté tout ce dont je dispose mais cela sera fait dans les prochaines semaines. Voici dans les grandes lignes les tests prévus:

le kit « Strobist » Gimilight

L’octabox Phottix 80cm pliable

Le parapluie translucide géant de 170 cm

Les déclencheurs radio Yongnuo YN-622

Les gélatines pour flash

Et bien d’autres encore selon mes projets photos à venir et les propositions de mes partenaires 😉

Et vous, pratiquez-vous la photo « strobist »? Si c’est le cas, quels conseils donneriez-vous à ceux qui veulent explorer cette discipline? Et si non, êtes-vous tenté?

30 commentaires sur “[Cycle Strobist] Mes premiers shootings!”

  1. Très intéressant comme article, c’est bien détaillé et on a une bonne idée de ta démarche qui me plait bien.
    En plus les premiers rendus sont vraiment très sympa! J’ai un peu de matos strobist à la maison, et j’avoue que tu m’as donné envie de le resortir du placard!

    1. Donner envie de pratique, c’est mon but! C’est très simple à mettre en oeuvre pour finir: une idée, un peu de temps et un modèle (qui peut-être le photographe lui-même comme Richard Vantielcke ou Levi Van Veluw). Et quel plaisir de construire sa scène et son plan de lumière 😉

  2. Hé hé, c’est très chouette de te voir évoluer ainsi, trouvé le chemin qui te plait dans le portrait, avoir le recule sur une pratique un peu trop formatée et stéréotypée, c’est vraiment cool.

    Un article qui pour moi à un goût particulier à plus d’un titre, tu avances de très belle façon!!!

    1. Merci Franky, content que mon chemin te plaise! Merci encore pour les conseils de base que j’ai pu apprendre lors de ton cours 😉 J’y pense souvent en bossant cette technique 😉

  3. Merci pour les liens vers mes projets! (:

    Bienvenue dans le monde merveilleux du contrôle total de la lumière.

    Je suis aussi tout à fait d’accord avec toi quant aux modèles. Les modèles pros (les vrais, pas ceux qu’on trouve sur ModelMayhem) sont souvent bloqués dans un type de pose bien rodé et sont vite perturbés quand tu leur demande autre chose… vive la spontanéité des modèles amateurs et leur esprit libre!

    1. De rien! Tu es l’un de mes modèles 😉 C’est peut-être même en visitant Face of Geneva que j’ai pris conscience de la « beauté » des gens ordinaires. Pour peu qu’on les place, comme tu l’as parfaitement fait, dans un lieu où ils se sentent bien et qui leur permet d’ÊTRE sans crainte…

  4. Excellent article Marc, chapeau, ça valait le coup d’attendre 😉

    Ce qui saute aux yeux, c’est que tu prend beaucoup de plaisir à évoluer dans cette pratique, c’est déjà super.

    Pour les modèles pro/amateurs, je suis de ton avis. Faire une séance avec un modèle pro revient presque à ne se concentrer que sur la technique, alors que là tu peux te lâcher 🙂

    Merci pour tes astuces concernant le tri de tes photos ! Et j’aime aussi beaucoup tes premières photos 😉

    Vraiment merci beaucoup, ton retour d’expérience donne vraiment envie d’essayer, c’est décidé je vais investir dans un flash Yongnuo !!! (et le récepteur) !

    1. Excellente idée de te mettre aussi au strobist 😉 Tu verras, tu vas te faire plaisir!

      Concernant le modèle pro, je pense qu’on peut tout de même le diriger comme on veut. Simplement, comme on sait qu’il connait son métier on est facilement tenté de le laisser prendre la pose comme il l’entend…

  5. arrff…pas le temps de tout lire, mais je reviens plus tard, ça a l’air d’être un super article autour de cette pratique, et les photos sont déjà très sympas (j’adore celle avec la pantere rose)

  6. Bonsoir Marc,c’était un article intéressant, j’ai bien aimé le fait que tu expliques étape par étape, en pleine découverte. Une chose est sûre, autant Thomas est accroc à la photo de rue, ça se voit comme le nez au milieu de la figure, mais il en est de même pour tout avec le Strobist ! lol
    J’ai également beaucoup apprécié ta philosophie concernant les modèles, je suis tout à fait de ton avis sur ce point-là. Les modèles non pros sont plus aptes à dégager quelque chose de naturel et donc, d’authentique. et l’authenticité, c’est quand même vachement important en photographie, car l’authenticité dégage une émotion une sensibilité qu’on ne retrouve étrangement pas dans un modèle pro. Enfin, ce n’est que mon point de vue.

    1. Merci pour ton point de vue Marie! Et effectivement je suis accro 😉 Et j’en ai marre qu’il fasse aussi mauvais 24h/24 j’aimerai bien pouvoir programmer mes prochains shooting en extérieur.

  7. Encore un article très complet, ta démarche est détaillée et on comprend ton cheminement. Je n’est jamais travaillé avec des modèles pro, donc je pense qu’on est obligé d’être plus créatif avec des personnes qui n’ont pas l’habitude, car on doit leur faire comprendre ce que l’on veut (de plusieurs façons en général, car ça ne vient pas naturellement), et on doit aussi se servir de leur personnalité (qu’on est censé connaître ou deviné). Donc pour toutes ces raisons on est plus créatif, et on progresse (normalement !!)

    1. Oui, effectivement, la personnalité compte. C’est pour ça que je n’ai fait poser que de personnes que je connais pour le moment. Avec des « inconnus », c’est peut-être un peu plus difficile. Je pense qu’il faudra que je discute un peu avant avec eux pour mieux les cerner.

  8. Très bel article, j’imagine bien tout le boulot qu’il y a derrière pour la réalisation des photos et pour la rédaction. A priori je ne suis pas trop tentée par ce genre de photo (il faut beaucoup de matos et je ne me sens pas à l’aise pour diriger des modèles) mais j’ai pris beaucoup de plaisir à lire ta démarche et suivre tes expérimentations très bien documentées. Je comprends et partage ton sentiments par rapport aux modèles « pro », je trouve souvent leur poses un peu artificielles, les amateurs sont moins formatés mais revers de la médaille, il faut savoir les diriger. Pas simple tout ça. Je me réjouis de découvrir la suite de tes aventures strobist. Quant à tes photos, j’aime beaucoup celle de Stéphanie appuyée sur la voiture ainsi que celle d’Alexis et de la panthère rose. Tous deux ont l’air très décontractés et très sympa 😉 A propos de cette dernière photo, je me demande (en toute modestie ) si en la recadrant en supprimant la bande de graffitis en haut (la photo serait fermée en haut par la bande noire), elle ne gagnerait pas en force en concentrant le regard sur les yeux malicieux de ton modèle. Bonne fin de w-e prolongé.

    1. Merci pour ton commentaire Spiruline! Et oui, mes modèles sont très sympas, même sans poser pour une photo 😀
      Merci aussi pour ta proposition de recadrage. C’est mieux en effet de fermer un peu l’image, j’avais peur que la panthère et mon modèle soient un peu trop près du bord, mais non, ça fonctionne bien. Merci! Je vais rajouter cette version à l’article!

  9. Salut Marc,
    J’arrive à peine sur le billet et il a déjà plus d’une semaine… Je suis vraiment à la bourre dans mes lectures moi 😉
    Démarche intéressante, bien expliquée, accessible, même si ce domaine ne m’attire pas plus que ca (après quelques petits tests sans comparaison possible avec les tiens 😉 ). Je rejoins Spiruline dans son commentaire.
    Pour le reste, je suis également d’accord avec les autres, on sent que tu t’éclates à faire ca, et c’est finalement le plus important !
    Si un jour tu es en manque de modèle, fais moi signe, je suis pas loin 😉

    1. Merci pour ton passage, même tardif, ça fait toujours plaisir!
      Et oui, je m’éclate bien dans ce domaine et j’aurai besoin de toi comme modèle un de ces 4!

    1. non, je ne vis plus en France, mais j’ai habite en Région Parisiennes les 29 premières années de ma vie.
      Je suis a présent expatrié en Israël, et on a BEAUCOUP moins de congés !

  10. Retour de ping : Test du bol Beauté Falcon Eyes SR-56T et son trépied girafe | Marc Charbonnier

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