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[Cycle Strobist] Se documenter

Ca y est, c’est parti! Voici le 1er article de mon cycle Strobist 😉 Il durera quelques semaines, le temps pour moi de tenter de faire le tour de la question avec vous. Comme je l’ai évoqué sur ce blog, je pars de zéro. Jusqu’à aujourd’hui, j’avais juste mon boitier reflex, un flash Canon 430EX II et de vagues connaissances sur l’éclairage au flash. Mais une chose est sûre, chaque fois que j’utilise mon flash et que ma photo est réussie, je ressens une grande satisfaction. Plus j’explore la lumière, plus j’ai envie d’en apprendre. Et plus je vois les possibilités créatrices de la photo au flash, notamment déporté, plus je suis attiré par cette discipline.

Je dois aussi aux magnifiques photos studio de Franky et au grand projet de Josh Fassbind l’envie de me lancer dans la photo au flash. Même si mes camarades photographes jouent dans la cour des grands sur le plan du matos et de la maitrise du sujet, cela me donne envie de m’améliorer!

Quand on se lance dans une nouvelle technique photo, on devrait toujours commencer par le même point de départ: lire! Évidemment, on peut apprendre en expérimentant ou au contact d’autres personnes plus expérimentées… c’est d’ailleurs ce qu’il faut aussi faire!

Alors que peut-on lire? Il existe plusieurs ouvrages sur le sujet mais 2 livres ont plus retenu mon attention:

Manuel d’éclairage au flash – Les flash Canon Speedlight du photographe américain Syl Arena paru aux Editions Eyrolles (2012) et La photo au flash d’Arthur Azoulay et Aurélie Coudière paru aux Editions Pearson (2011)

Manuel d’éclairage au flash – Les flash Canon Speedlight

Ce n’est pas à proprement parler un livre dédié à la technique strobist mais il est tellement complet sur l’utilisation des flashs cobra que vous avez toutes les clés pour vous lancer l’aventure du strobisme.

Photo au flash-1

Le livre est logiquement organisé autour des thèmes suivants:

  1. La lumière (théorie)
  2. Les fondamentaux (les bases de l’éclairage en photo)
  3. Accessoires dédiés (parapluie, softbox, reflecteurs,…)
  4. Le speedlite en pratique (configuration à un ou plusieurs flashs, différents type de portraits…).

Pour visualiser le sommaire complet, vous pouvez cliquer ici.

Les non-canonistes seront peut-être un peu frustrés à la lecture de ce livre mais il ne faut pas pour autant passer à coté. La plupart des chapitres consacrés à la gamme Speedlight est tout à fait transposable au flashs Nikon, Sigma ou autre Yongnuo. Il reste tous les autres chapitres à lire et croyez moi, si vous assimilez les 360 pages de ce livre, vous serez déjà comblé!

Photo au flash-2 Photo au flash-3 Photo au flash-4

Comme d’habitude chez Eyrolles le livre est bien conçu, tant au niveau de la mise en page que de la qualité du papier et de l’impression. La traduction, réalisée par le photographe-formateur-auteur Gilbert Volker est parfaite et si on sent un petit ton anglo-saxon dans le style (phrases courtes, auteur s’adressant directement au lecteur..) la lecture est aisée.

Bref, un excellent ouvrage, la bible de l’éclairage au flash selon moi. C’est bien simple, il est devenu l’un de mes livres de chevet!

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La photo au flash d’Arthur Azoulay et Aurélie Coudière

Là encore, on dispose d’un ouvrage de référence sur la photographie au flash! Les 2 auteurs font le tour de la question en structurant leur propos selon le sommaire suivant:

  1. Comment fonctionne votre flash ?
  2. Comment choisir vos flashes ?
  3. Contrôler et modeler la lumière de vos flashes
  4. Exploiter au mieux les possibilités de votre flash d’appoint
  5. Configuration de base du flash cobra
  6. Un flash en version déportée
  7. La photo multiflash

Le contenu est semblable au livre de Syl Arena mais sans l’orientation Canon et peut-être un peu moins complet. Un point fort, de nombreux exemples comprenant les plans d’éclairage permettent de comprendre la plupart des types d’éclairages classiques. Pratique pour reproduire les photos d’illustration puis personnaliser ses éclairages. C’est un livre didactique, et très bien illustré, idéal pour débuter avec les flashs cobra!

La photo au flash2

Concernant ce livre, je ne dispose que de la version électronique. Je ne peux donc pas vous commenter l’aspect de l’ouvrage. Ceci dit, il devrait être comme tous les livres Pearson, de bonne qualité au standard attendu par les photographes.

On pourra compléter ce livre en lisant Mini-Studio photo et Manuel d’éclairage photo dont je vous avais parlé il y a déjà quelques temps sur Fotoforom. Même s’ils concernent plus la prise de vue « packshot », ils traitent également de multiples aspects de la photographie au flash. Il faut rappeler que la technique strobist, même si elle est principalement utilisée pour du portrait peut s’appliquer aussi sur de la nature morte.

Enfin, au delà des livres « papier » ou « électroniques » publié par de grandes maisons d’édition on trouve sur internet une littérature abondante sur le sujet. Évidemment de nombreux sites et forums spécialisés ou non, mais également quelques e-books gratuit, dont le célèbre Strobist: Lightning 101 de David Hobby, « l’inventeur » du strobisme. Son ebook a été traduit en français par une équipe de photographes et de traducteurs sous la direction de Jacques Babin. Vous pouvez télécharger cette version française de « Strobist: Lightning 101 » en cliquant sur ce lien Strobist_L101_French

Il existe un autre ebook sur le sujet, publié par Michael Guarisco, un photographe français spécialiste du flash. Vous pouvez le télécharger ici: La photographie au flash – Guarisco. On retrouve les mêmes thèmes que dans le livre de David Hobby avec des parties plus techniques sur la lumière. Michael Guarisco est également blogueur mais son site semble hors ligne…

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Sinon, on trouve quelques sites Internet de référence:

http://www.flickr.com/groups/strobist: le groupe flickr dédié au strobisme

http://www.backstar-photo.com/blog/: un site/blog francophone bourré d’informations mais inactif depuis quelques mois… dommage…

http://strobox.com/ Mon site préféré avec de nombreuses photos postées par des photographes et toujours accompagnées des plans de lumière.

Rendez-vous dans quelques jours pour la suite du [Cycle Strobist]! L’étape suivante sera la formation avec un retour d’expérience sur la journée d’initiation au studio à laquelle j’ai eu la chance de participer début janvier grâce à mon ami Franky!

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66 commentaires sur “[Cycle Strobist] Se documenter”

  1. Super tout ça ! On sent bien tout ton enthousiasme 🙂

    Cette technique de flash déporté m’intéresse beaucoup (je m’aperçois en le disant que tout m’intéresse en ce moment ^^), mais j’hésite encore à investir dans un flash cobra (j’hésite parce que j’ai tellement à apprendre encore avec juste mon boitier et mon objectif).

    Malgré mon objectif lumineux (f/1,8), j’ai beaucoup de difficulté pour les photos d’intérieur, alors je compte sur le flash déporté pour m’aider !

    Voilà une raison de plus de suivre ta rubrique, j’espère que j’en sortirai encore plus motivé !

    Finalement, pour un nikoniste, tu conseillerai quel livre ? (celui sur les flash Canon ou le deuxième, plus générique mais moins complet ? Je vais commencer par les liens ^^)

    Et merci infiniment pour tous les liens que tu nous donne, on se croirai un lundi soir tellement il y en a 😉

  2. Salut Thomas! merci pour ton commentaire 😉
    Ce que je te conseille, c’est de passer chez Canon^_^

    Non, plus sérieusement, le premier est plus complet que le 2ème, c’est pourquoi je le conseillerai à quelqu’un qui veut vraiment approfondir le sujet.
    Mais celui de Arthur Azoulay et Aurélie Coudière est peut-être plus accessible pour débuter. A toi de voir tes besoins !

  3. Pinaise ! J’ai eu peur en lisant ton premier conseil !

    Ok, merci ! Je vais d’abord lire les 2 ebooks, puis les sites internet, en plus de ton retour d’expérience, et finalement, je ferai mon choix de livre en fonction de mes besoins 😉 (qui auront surement évolués)

  4. Par contre, vous (toi et les collègues de la Boite à Photo) êtes en train de me faire tourner la tête !!! Je sais plus où je suis: strobist, contre-jour, HDR, panorama, les filtres naturels….. C’est trop pour un seul homme 😉

    Je vais devoir tout tester avant de faire mes choix !

    1. On est tous pareil je crois! Je suis fan de photo pano, mais je n’ai toujours pas pris le temps d’utiliser ma Nodal Ninja achetée il y a presque un an! J’aimerai faire aussi plus d’astro, de time-lapse… Il faudrait des journées de 48h… et encore!

    2. Nous sommes nombreux dans cette situation mais il faut savoir profiter des occasions qui se présentent pour mettre en place une technique particulière, la tester pour savoir si cela vaut le cout de s’investir dedans.

  5. Je suis aussi très intéressé par en savoir plus sur cette technique. Et je pense investir dans l’équipement prochainement. J’attend donc ce cycle d’article, avec impatience.

    1. Tant mieux ! Si cet apprentissage du Strobist que je vais partager avec les internautes peut être utile alors j’aurai atteint mon but… N’hésites pas à me poser des questions si tel ou tel point ne parait pas très clair…

  6. Retour de ping : Cycle Strobist: Se documenter | Marc Charbonnier | Photographes et blogueurs | Scoop.it

  7. Super article, je ne connaissais pas certaines ressources que tu présentes, encore des choses à rajouter à ma liste de lecture.
    Pour le livre de Syl Arena c’est une référence pour moi aussi et il m’aide pas mal pour mon projet de 365 Portraits, de plus il offre des perspectives d’utilisation du flash auxquelles je n’aurais jamais pensé !

    En tout cas j’ai hâte de suivre la suite du cycle

    1. Merci pour ton passage! Eh oui, le livre de Syl Arena est une vraie référence… un peu volumineux pour l’avoir toujours sur soi, en tout cas en version papier 😉

  8. C’est bien de se documenter. Mais pour quoi ne pas commencer tout petit avant de passer au flash ?

    On peut travailler d’abord en éclairage continu sur de tout petits sujets, avec simplement un spot de 40 W en fabriquant de petit diffuseurs DIY peu onéreux.

    Le flash est surtout utilisé par rapport à son rapport poids encombrement puissance. Avec son rendu.

    La lumière en continue est plus facile à modeler, à appréhender. A condition juste de savoir ce qu’est une gélatine grise, qui sert à descendre l’intensité lumineuse. Je pense que pour l’apprentissage, c’est plus efficace. Et ensuite de rajouter des gélatines de couleur pour en apprendre les effets.

    Je dis ça tout simplement parce qu’en formation studio, tu as du voir des lampes pilotes. Qui sont utilisées dès que l’on travaille à PO par exemple (contrairement aux idioties lues sur les forums de CI). Et justement, la lumière continue est « razor », « sharp », sans concession, contrairement au flash qui lui diffuse et éparpille les points chauds et froids de manière très différente.

    Et as-tu acheté une cellule-flashmètre externe ? C’est quand même l’outil qui permet de travailler sans même sortir le boitier. Surtout en strobist ! Je dirais même que c’est à acheter avant les flashs : une cellule neuve se trouve facilement à 150 €.

    Tu sembles partir sur ce sujet du matériel pour arriver aux photos. Or, je pense que là tu fais fausse route, en ce sens que tu rentres dans un domaine de la photo ou l’empirisme et la non-réflexion ne peuvent donner de résultats efficaces. Et ou précisément, le matériel a un usage tellement précis, calibré, que tu risques de tourner en rond avant de maitriser des rendus.

    Bon courage. :))

    1. Merci pour ton long commentaire oud’s! Tu as raison, on peut tout à fait commencer avec de la lumière continue, se fabriquer soi-même des réflecteurs (merci les couvertures de survie), expérimenter la lumière réfléchie sur les murs… Je suis passé par là et cette série d’article sur le strobist répond à une seule question. Est-il possible de produire de belles images (portraits, mises en scène) avec des flashs déportés et un budget d’équipement raisonnable pour un photographe amateur?

      Evidemment, si j’avais des super flash studio Elinchrom ou Multiblitz, un moyen format numérique, des softbox de grande taille, un modèle pro, des assistants…. ce serait parfait mais carrément hors budget pour la majorité des photographes amateurs et hors priorité en ce qui me concerne.

      Quant à l’organisation de ces articles, c’est pour partir du moins important, le matériel, pour finir vers le plus important… le résultat final! C’est pour le suspense!!

      Par ailleurs, je pars du principe qu’il faut un minimum de matériel pour réussir ce genre de photo. Même si on peut réussir un beau portrait avec une lampe ikea et un bout de tisssu blanc comme reflecteur, on aura plus de latitude avec un peu de matériel supplémentaire: flashs, parapluies, déclencheurs radio, gélatine.

      En plus, lorsque j’arriverai au bout de cette expérience, si les photos sont mauvaises… il n’y aura qu’une explication: je serai un mauvais photographe. Impossible d’imputer un échec au matériel!

      Quant à la cellule flashmètre: on lit tout et son contraire à ce sujet. J’ai décidé de suivre l’avis de Franky qui estime que ce n’est pas indispensable dès lors qu’on prend soin de checker ses images sur un écran (idéalement calibré) d’ordinateur. Mais je te laisse volontiers la place sur ce blog pour expliquer dans le détail l’intérêt d’utiliser une cellule flashmètre dans un article « invité » 😉

  9. Bonjour,
    je suis tout nouveau tout neuf sur ton blog et je trouve cet article très intéressant ! Il me semble avoir entendu parlé de site (ou micro-application) qui permette de simuler un éclairage artificiel. Je crois aussi savoir q’uil existe un site ou de nombre photographe amateur et professionnel mettre à disposition des photos en indiquant le « schéma » d’éclairage; cependant, j’ai beau retourner mon historique et quelques tweets, impossible de retrouver ces url. Aurais-tu idées sur la question.

    Merci par avance,

    1. Bonjour Yéyéramie! Bienvenue sur mom blog alors 😉
      Pour le site qui permet de simuler un éclairage artificiel, il existe Virtual Lightning Studio: http://www.zvork.fr/vls/?lang=fr qui est plutôt bien fait…

      Quandt aux photos avec schéma, c’est le site Strobox, en lien dans mon article qui peut répondre à ta demande!

  10. Re,
    merci pour ta réponse rapide, je n’ai pas eu la force de cliquer sur tous les liens avec mon mobile; et l’écriture avec mon clavier de smartphone me réserve quelques surprises aussi. J’ai tous les renseignements dont j’vais besoin, dès que je retrouve un ordinateur je vais visiter le tout. Encore merci

    Yéyérémie

  11. Merci Marc pour le lien vers mon projet.

    Si jamais, il faut aussi regarder du côté de Joe McNally (The Moment It Clicks, The Hot Shoe Diaries), c’est un maître strobiste!

    En ce qui concerne le commentaire sur la cellule, sincèrement, aujourd’hui très peu de personnes s’en servent. Regarde sur ton écran voir si le résultat te convient! (: Les seules fois où je sors la mienne c’est quand je souhaite obtenir un ratio précis entre deux sources lumineuses différentes.

    Amuse-toi bien!

  12. Dans mon commentaire précédent, je t’invite précisément à ne pas partir du matériel, mais de la lumière et de la photo que tu veux réaliser. Ne met pas la charrue avant les boeufs là. Ne ramène pas ce que je t’écris au matériel, j’ai appris le flash avec un cobra des années 70 au NG, le studio avec un spot et des coupes-flux maison. Relis ce que j’ai écrit pour la différence entre les 2, et essaie de la visualiser. Une seul source suffit pour débuter.

    Quand au flashmètre, je ne comprends pas là : entre se mettre une myriade d’éclairs dans les yeux pour rien, fatiguer les modèles dans le vide, franchement, là je ne suis pas du tout d’accord avec Franky, si il a vraiment dit cela. Sans parler d’équilibrer/régler deux sources et plus en un minimum de temps. C’est un outil, au même titre que le boitier, l’objectif, un bouquin avec des schémas …

    Une cellule-flashmètre fait gagner du temps et de la fatigue, et tient dans la main. Un écran calibré n’a pas vraiment ces qualités. C’est de l’empirique. Un article sur le flashmètre ? Je préfèrerai sur les colorimètres, sur l’intérêt d’utiliser un flash en amnuel etc etc … Mais avec les bonnes bases expliquées auparavant ! C’est comme si tu disais que l’autofocus ne sert à rien sous prétexte que l’on peut faire une map à la main …

    1. Oud’s
      Tu sembles oublier la philosophie du strobist qui est de permettre à tous moyennant un investissement le plus faible possible d’accéder à la photo avec des flash déportés.

      Sans renier l’intérêt d’une cellule je pense qu’il est possible de s’en passer, ça sera moins confortable, mais c’est réalisable.

  13. Mac Nelly : il y a une cellule-flashmètre sur toutes ses vidéos !
    Il utilise actuellement le système sans fil Nikon en partenariat commercial avec eux, pas plus.

    Mais il est d’abord connu comme excellent photographe de studio, ce qui est le coeur de son activité photographique ! Le strobist n’est qu’un type de sources.

    1. Euh McNally, il est surtout très connu pour son travail de photographe journaliste/documentaire. Et à part quand il a shooté les pompiers de NYC après le 11 septembre avec un appareil qui sort des polaroids de 3x1m, il n’utilise pas de cellule. J’ai d’ailleurs suivi un workshop avec lui et quand quelqu’un lui a demandé s’il en utilisait une, il a répondu par la négative.

      Et aujourd’hui, il shoot beaucoup avec les système CLS de Nikon, effectivement.

      Je ne dis pas que la cellule ne sert à rien, mais elle n’a plus la même utilité aujourd’hui qu’elle n’avait autrefois…

      Après, chacun fait comme il veut et tout ce qui compte c’est le résultat final.

  14. Ben faudrait un peu se remettre en question là, tu confonds visiblement cellule et flashmètre, ce n’est pas pour rien que j’utilise ces deux mots de manière très marquée, ce sont deux outils aux fonctionnalités très différentes, même si on les retrouve très souvent dans le même appareil ! Si déjà tu ne sais faire la différence, en effet, inutile pour toi de continuer cette discussion. Tu n’as pas les bases. Et tu n’as jamais du utiliser ni l’un ni l’autre.

    Mac Nelly est photographe de studio aussi, ce sont ses éditos et portfolio presse qui l’ont fait connaitre. Faudrait un peu arrêter de vouloir ré-inventer la prise de vue photo, de se chercher des justifications qui n’existent pas dès lors que quelqu’un de plus qu’expérimenté vous indique que vous partez dans une direction qui vous oblige à vous remettre en question.

    La prise de vue n’a pas vraiment changée depuis l’argentique, surtout en studio ! Travailler le studio, c’est un minimum de discipline et mettre l’empirisme de coté pendant la phase d’acquisition. Les cobras et déportés ne sont qu’un type de source.

  15. Pour illustrer la différence et l’utilité, ces photos a été réalisées au flash, en manuel, avec les mêmes paramètres 1/120 100 isos demandés à l’appareil, pour avoir la valeur d’ouverture à utiliser.

    En mode cellule/spotmètre, on mesure la lumière ambiante :
    http://www.casimages.com/i/130206024417899031.jpg

    Le spotmètre mesure ici la lumière vers l’appareil photo avec un angle de 5 degrés, comme un boitier on est à f/0.7 (sur le boitier) ! C’est en beaucoup plus précis et fiable ce que contiennent tous les appareils photos. On s’en sert avec la lumière continue en studio. Si je veux monter le diaph à f/8 pour m’éclairer, il me faut alors une source continue qui me fournisse 6 iL en plus. (C’est une démonstration volontairement par l’absurde, ou la mesure est prise ici sur le photographe)

    Ensuite, en mode flashmètre :
    http://www.casimages.com/i/13020602451386619.jpg
    Ici, la fonction flashmètre m’indique qu’avec cette puissance de flash, il me faut fermer à 5.6.
    Si je veux arriver à f/8 toujours, il existe 2 solutions : soit je rapproche mon flash, mais ombres et reflets vont varier, soit je monte la puissance du flash, et là, le flashmètre va me permettre de quantifier au 1/10 d’iL la puissance de mon éclair à l’endroit ou se trouve le flashmètre. Et donc, je dois monter la puissance de mon flash d’1iL.

    La méthode que vous tous prescrivez se joue au pifomètre, multiplie les coups de flashs, nécessite de travailler en mode connecté, de s’appuyer sur les logiciels de traitements et dérawtiseurs, alors qu’au flashmètre, surtout en strobist, surtout en extérieur léger, un flashmètre vous permet de faire sauter tout ce coté ésotérique, et d’avoir directement un réglage de la lumière fiable, précis. De mélanger très facilement lumière amabiante et éclairs de flash ! Et ça se trouve à 150 € (200 CHF) en neuf ! C’est moins cher qu’un cobra !

    Et je viens de vérifier :en effet Mac Nelly n’a pas de cellule : ce sont ses assistants qui le font, ça lui évite de se déplacer :p

  16. Je n’ai jamais préconiser de regarder sur l’écran d’un ordinateur mais simplement sur l’écran de l’APN. On y a toutes les infos nécessaires.

    Ensuite, je suis allé faire un tour sur ton site pour voir ce que tu fais. Apparemment tu maîtrise la théorie mais la pratique c’est pas ça. Tu as une photo de LeBihan… ton flashmètre, il était en panne?

    Bref, comme je l’ai dit, chacun fait comme il l’entend. Ce qui compte c’est le résultat.

    Ah et c’est McNally, Joe McNally. Mac Nelly je sais pas qui c’est.

  17. Josh ; c’est pas grave, moi je mange avec mes photos, et toi ?
    Je ne vis pas par procuration comme tu le fais, j’illustre mes exemple, comme au dessus. Et pardon de ne pas mettre mon fichier client on line.

    Tu sais travailler avec un flash ? Je ne pense pas.
    Tu maitrises tes rendus sur une vraie série ? Sans retouche lourde, je ne pense pas.
    Tu saurais être productif et rentable : surement pas.
    Tu arriverais juste à travailler vite et propre : impossible, sauf coup de pot une fois.

    La photo que tu cites (yvan le bolloch) est de l’évenementiel au cobra.Merci la TTL ! ça je reconnais que tu sais ce qu’est un cobra. Concernant ton site, je ne ferais pas de commentaires : c’est un site d’informaticien qui pense savoir, c’est plein de jolies photos …
    retouchées à mort.

    Tu sous-traites les retouches, ou c’est toi qui les fait ? ^^

  18. C’est pas ma guerre…

    Bon, je déconne, mais j’avoue que cette petite prise de tête au final me fait bien rire!

    En passant, l’article est très sympa, et ces deux livres ont l’aire bien sympa.

    Pour revenir au Flashmètre, je causais de ça il y a deux mois avec un pote à moi qui vie au US, il s’appelle Joey L. Franchement, il est bien plus jeune que moi, mais c’est totalement mon mentor, mon Maitre à penser au niveau de la photo studio, pour moi c’est le top du top. (d’ailleurs, merci à lui d’avoir appuyé ma demande auprès de PhaseOne).

    Lui comme moi on est d’accord sur une chose, le Flashmètre est un outils indispensable dont il faut savoir se dispenser!

    Cela peut paraitre paradoxale, mais c’est plus subtile qu’on le pense.

    J’apprends à mes élèves que l’outil absolu pour avoir une précision parfait dans le réglage des setup, c’est le flashmètre. Mais je leur explique aussi, qu’un flashmètre ça coûte cher, et qu’au final, il est préférable d’investir dans un bon flash studio (plutôt qu’une saloperie chinoise) que dans un flashmètre.

    Je leur apprends comment se passer de flashmètre, régler un flash à la fois, éteindre les source qu’on doit régler individuellement, puis affiner le réglage toutes les source allumées.

    Je leur apprends qu’un bon écran calibré, peut pallier au manque de flashmètre. Que de très très très (… plein de très) bien connaitre son écran arrière peut aussi aider à s’en passer.

    Puis au final, l’expérience prenant le dessus, on devient presque aussi sensible qu’un flashmètre.

    C’est tellement vrai, que parfois je me fais rire, le flashmètre ne fait que confirmer mon « intuition », il devient surtout un outil qui me rassure quand je dois aller vite.

    Alors, quand on a le temps, paradoxalement, on se passe du flashmètre, ce qui m’arrive souvent! Puis quand on doit travailler super vite, alors le flashmètre devient LE matériel à avoir.

    Celui qui ne sait pas utiliser un flashmètre manque quelque chose, celui qui ne sait pas se passer du flashmètre… Manque aussi quelque chose.

    Et pour finir, mon pote Joey L m’a dit: Pour mon dernier shooting, je me suis passé du flashmètre, il m’a pas manqué, il était dans ma mallette, mais je l’ai laissé se reposer! ^^

  19. Je veux bien croire que certains utilisent encore un flashmetre de nos jours…. mais perso je n’y vois aucun intéret. J’ai le mien depuis presque 20 ans et quand il m’arrive de le sortir, c’est presque toujours pour faire plaisir à mes clients, ca fait partie des trucs auquel les client s’attendent à force de se bouffer des série américaines tous les soirs à la télé, c’est pour « vendre un peu de reve ». Un peu comme quand je sors un boitier MF alors que je sais très bien qu’un 24×36 ferait parfaitement l’affaire. Ca fait partie des petits « trucs » en plus.

    Je suis néanmois surpris de lire que ou’d, malgré tout le professionalime qu’il s’efforce de transmettre dans ses commentaires, ne nous dise pas que oui, quand on a fait 20 ans de studio, on connait nos flash et tout nos accessoires par coeur et connais très axactement le rendu de telle octo placé à telle distance, et ce bien avant d’avoir allumé le flash. Pas besoin de flashmetre. On réfléchit 2 sec et on tombe à 1/2 diaph au pire. Et puis il ne dit pas non plus qu’un flashmetre ne donne qu’une valeur pour du gris moyen, et qu’en fonction des caractéristique de peau du modèle ou de l’ambiance que l’on veut donner, il faudra interpréter la lecture du flashmetre compenser en fonction. Bref, un flashmetre ne va absolument pas garantir à un débutant de ne pas faire d’erreur.

    Si on sort du studio et qu’on est dans un environement inconnu? Un flashmetre ne sera pas suffisant car il faudra aussi mesurer la lumière ambiante.

    Bref, il faut réfléchir un peu, et faire un ou deux tests, peu importe. Et puis c’est pour cela qu’on a des assistants, ou des potes!!!!

    Je respecte ceux qui ne reouchent pas leurs photos, qui ne croppent pas, qui ne corrigent jamais leur balance des blancs, etc… mais bon, faut ˆetre réalise, celui qui prétends que tous les photographe qui font cela sont des incapables ne sont probablement plus sortis de chez eux depuis 10 ans. Le monde de la photo a bien changé, certains continuent a bosser à l’ancienne et tant mieux pour eux.
    Qu’on aime le rendu des photos retouchées ou pas, ce n’est pas la question. le fait est qu’il faut etre aveugle pour ne pas se rendre compte que cela fait aujourd’hui partie intégrante du métier et que si on ne veut pas en faire, ce n’est pas pour cela qu’il faut faire croire aux autres que l’ancienne méthode est la meilleure. Une chose est sur, si on n’est pas capable de retroucher un photo, on se ferme toute un partie du métier et ce n’est pas un bon conseil à donner à quelqu’un qui débute.

    Et puis ok ok, je sais, c’était mieux avant, et tout et tout mais…. en fait, eu, non, je préfère maintenant.

    Ce n’est pas que je veux casse ou’d, mais je touve que ses commentaire acerbes, moqueurs et donneurs de lecon sont un peu déplacés.

    Bref, peu importe comment tel ou tel pro fait fait, du moment que cela fonctionne. On fait un boulot créatif et on n’est pas là pour répéter tout comme des automates. Un peu d’ouverture d’esprit svp…

    ecrit dans la douleur sur une tablette….

  20. Avoir déjà évoqué souvent l’usage du flashmètre en studio, de ce que ça apportait vraiment.

    Moi, au bout de 12 ans de flash, il m’arrive de me planter sans mesure, ou d’avoir une TTL douteuse. Je suis désolé, les yeux qui piquent, les maux de tête, la fatigue oculaire, c’est un point commun qu’ont beaucoup de vraitographes quand on discute « couisine » studio.

    Et les 3-4 que j’ai croisé jusqu’à présent, qui étaient septiques et à qui j’ai montré l’utilisation du flashmètre pour lire la lumière issu d’une source ne sont jamais revenus en arrière par la suite. Souvent parce qu’eux même ne connaissaient pas leur source. Beaucoup n’en avaient jamais vraiment utilisés avant « mais ils savaient par le net » que l’on pouvait s’en pouvait s’en dispenser.

    Pour dire, la photo au dessus, la nature morte il a fallu 2 coups de flashs : un pour mesurer (il manquait 1/2 iL) et un pour faire la photo. Mais c’est vrai, c’est inutile ^^

    Après une fois je ne me suis pas servi de cellule : les flashs étaient quasi parfait sur le placement directement, en éclairage continu. c’est arrivé oui. Une fois. :p

  21. Bon, ça a l’air de se calmer, il semblerait que Darth ait mis tout le monde d’accord 😉

    Si je résume bien la situation:

    – Oud’s est un fervent défenseur et utilisateur du flashmètre
    – Personne ne conteste que c’est un outil utile
    – Certains dont Josh et Franky pense qu’on peut s’en passer
    – On ne peut pas dire que Josh soit un amateur ou un débutant. Je vois mal la maison Tavel exposer un tocard sans que personne ne réagisse. Quand on voit le succès de Faces of Geneva, on comprend que Josh n’est pas un photographe « ordinaire ».
    – Il est difficile de se faire une idée du travail de Oud’s en consultant simplement son site web… Pourquoi ne pas faire un portfolio digne de ce nom?
    – Josh estime que c’est le résultat final qui compte et je le rejoins sur ce point. L’expérience et le talent s’exercent bien au delà du matériel. Évidemment, un moyen-format fournira toujours une meilleure image qu’un iPhone mais un photographe médiocre avec un moyen format fera toujours de moins bonnes photos qu’un photographe brillant avec un Polaroïd.
    – Je ne pensais pas qu’un simple article sur des livres photos déclencherait une telle polémique…
    – Je persiste dans mon projet: comme le mentionne Pyrros, le concept de strobisme sous-entend une certaine humilité au niveau du matériel. Si on a un réflecteur or/argent qui se replie tout seul c’est bien… si on en a pas on en fabrique un avec une couverture de survie. Si on a les moyens d’acheter 3 flashs Canon Speedlight 600 EX-RT, on les achète, sinon des Yongnuo à 100 euro tout manuels feront aussi l’affaire. Si on a un flashmètre on peut l’utiliser… si on n’en a pas on procède de manière empirique en regardant le résultat sur son écran (boitier ou ordi).

    Bref! On en revient à la conclusion de Josh: peu importe le chemin emprunté, l’important c’est la photo finale 😉

  22. Alors des expo j’en ai eu 18 en tout. ça va du restaurateur local à la galerie Place des Vosges la semaine prochaine. C’est vrai : moi je vends, je le revendique, je suis le mal ^^.

    J’indique que j’ai gagné un p’tit concours sur mon site, tout à fait quelconque et négligeable.

    Je passe en moyenne 2 jours par semaine en studio … Et là je vois quelqu’un qui ne sait rien du flash de studio venir en plus m’expliquer comment faire mon site ? Après avoir déjà fait un article pourri et à coté de la plaque sur les photographes professionnels ?

    Wtf ! Ou me suis-je égaré ! On ne m’y reverra plus.

    Franky n’a jamais publié ce genre d’article ni de choses fausses. Prend exemple au lieu de singer.

    1. Je ne pense pas qu’ici le débat soit « vrais photographes » contre « faux photographes ». On est là pour échanger et apprendre, pas pour justifier ni prouver quoi que se soit. Si personne n’a plus rien à t’apprendre je te conseille de passer ton chemin. Si tu sais tout en photo, je te conseille alors de créer un site ou tu expliques ton savoir faire. Marc décide de se lancer dans les strobisme et de nous faire partager ses débuts dans cette expérience, il n’est pas en train de nous dicter la vérité vraie pour être un vrai photographe que je sache ? En tant que photographe professionnel tu aurais pu donner ton avis en le conseillant plutot qu’en l’attanquant directement dans ton premier commentaire. J’espère que tu ne donnes pas de formation photo, vu la passion avec laquelle tu transmet ton savoir…

  23. Cher Oud’s, je pense qu’on va arrêter là cette discussion qui n’apporte rien aux visiteurs de ce blog. Mais je suis à disposition pour continuer par mail si tu le souhaites 😉 Bonne journée!

  24. Hé bien j’arrive en pleine guerre, j’ai pas pu m’empêcher de lui répondre désolée.
    Concernant ton article, le premier livre présenté semble très intéressant pour moi, en effet j’ai comme toi le 430EX II et encore aucune vraie documentation sur les flash. Par contre est-ce qu’il y a aussi des plans d’éclairages qui sont présentés ?
    On se réjouit de la suite !

    1. Salut Lucie! Merci pour tes commentaires 😉 Concernant le livre de Syl Arena, il y a de nombreux plans d’éclairage, tu as un exemple sur les 3 petites photos de mon article: clique dessus tu les verras en grand et tu pourras mieux visualiser les illustrations.

    2. Petite vignette, petite vignette, elles se voient mieux.

      Lucie, j’en profite pour te dire que je ne t’ai pas oublié, mais je suis vraiment, mais alors vraiment surchargé (pour te donner un exemple, l’article que je devais publié ce lundi sera au final publié lundi prochain).

      Je te remercie de ta compréhension 😉

      1. Le petite vignette c’était pour Marc ^^.

        Pour le 6D, je négocie pour le moment, car le prix que je peux obtenir est trop proche de celui de microspot, du coup, c’est pas super avantageux.

        Donc, je bataille sec pour faire descendre tout ça ^^

          1. Ha bon ? Il me semblait qu’ils ne l’avaient même pas… Je dois juste attendre des nouvelles d’un objectif en réparation avant de me décider pour un boitier nu ou en kit

  25. Super, pleins d’infos intéressantes pour commencer à se renseigner.
    J’ai acheté un flash il n’y a pas si longtemps ainsi que 2 transmetteur cactus, mais pour l’instant, je ne l’ai utilisé qu’en portrait avec ma petite fille, pas encore dans un cadre de photo créative que j’aimerais développer.
    Je vais donc suivre avec attention ce cycle strobiste!!

  26. Pourquoi tant de haine ?
    Pfiuuu, je sais pas si je vais oser laisser un commentaire, tellement j’ai peur de me faire découper en deux !

    Dans les ressources francophones, il me semble que Guillaume Ménant avait fait en son temps quelques articles bien faits orientés « Strobist » sur la base de ce qu’avait réalisé David Hobby :
    http://www.guillaumemenant.fr/category/strobist/ (au milieu des différents shooting, il y a quelques articles)

    Et pour le bouquin de Syl Arena, la couverture me fait penser à un autre « manuel d’éclairage » :
    http://www.amazon.fr/Manuel-d%C3%A9clairage-photo-2e-%C3%A9dition/dp/2212134169/ref=dp_ob_title_bk
    (Bon moi j’ai la première édition, mais ca doit pas changer des masses !)
    Je ne saurais plus dire (je l’ai lu il y a longtemps maintenant) s’il pourrait être utile dans le cadre « strobist » par contre :-/

    (Problème de parsing Json avec CommentLuv au cas où :
    Parsing JSON Request failed. Fatal error: Class name must be a valid object or a string in /home/web/NL-3771/marc-charbonnier/www/wp-content/plugins/commentluv/commentluv.php on line 899
    )

    1. Oui, tu as raison pour Guillaume Ménant que j’ai déjà cité sur ce blog. J’aurai dû le rajouter ici. Ses articles sont particulièrement intéressant du fait qu’il suit le « cours de David Hobby et montre le résultat de ses expérimentations (Strobist 102)

      Pour CommentLuv, c’est bizarre, je ne vois rien de tel de mon coté…

  27. Retour de ping : [Cycle Strobist] Se documenter | Photography Stuff For You | Scoop.it

  28. Bonsoir,
    Alors il y a quelques temps je me suis documenter, et puis j’ai laissé tombé le projet plutôt attiré par la nature et la lumière naturelle. Et puis finalement le « strobist » ca me donne un petit gout de reviens-y. Oui mais, et un grand mais. J’ai beau lire les techniques et tout et tout.
    Au bout d’un moment il faut se lancer, oui mais dans quoi, quels flash, quel parapluie, quelle softbox, bref quel « kit de base » mais pas basic pour un débutant qui n’a pas envie que tout soit casser au bout de 10 utilisations…
    Merci
    Philippe. J’en profite pour continuer ma visite étant tombé ici après une recherche google

    1. merci philippe pour ton message! Ta recherche est un peu celle que font tous les photographes qui souhaitent se lancer dans le Strobist, y compris la mienne. C’est pour cette raison, que j’ai lancé ce [Cycle Strobist] pour partager le fruit de mon mon expérience, mes réussites et mes échecs. Je ne deviendrai pas LE spécialiste du Strobist mais j’aurai fait probablement un bon tour de la question.

      Ce jeudi soir, je parlerai du choix des flashs et prochainement des kits strobists, des softbox, des gélatines, des déclencheurs radio… N’hésite pas à poser toutes tes questions en bas de ces articles!

  29. Retour de ping : Cycle Strobist: un cours photo-studio pour se former | Marc Charbonnier

  30. Merci beaucoup Marc pour votre article qui est très intéressant surtout pour nous les débutants en matière d’éclairage au flash!
    En passant, j’aimerais demander si le livre en question est téléchargeable gratuitement? Si oui, pouvez vous nous donner le lien pour le téléchargement s’il vous plait?

    Encore merci!
    Nay

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